…BENOIT GOMEZ …

RETENEZ BIEN SON NOM….

 

 

Week-end sportif VIP sur le Bassin, ne pas bouder un tel plaisir.

Paddle, parapente, parachute, jet ski, planche à voile, kitesurf, voile, pinasse… il ne manquait que …les joutes…

Il y a le sport des débutants sur le bassin, c’est tout un spectacle…

Les plus malins s’assoient sur le Paddle,  pendant que d’autres agitent les bras, toussent, crachent, appellent au secours par un mètre de fond…

Dès les premiers beaux jours le salto arrière ou avant, c’est selon, déséquilibre de ton embarcation, est très tendance sur le Bassin, monnaie courante que j’utilise sans compter.

Vous avez beau faire beau dire, quand vous ressortez du Bassin, si vous en ressortez, vous ne ressemblez plus à rien, le brushing prévu pour l’occasion, est salé, sablé, ‘algué’ (terme Bassin dans le texte…).

 

ET PUIS…IL Y A LE PRO …DU KITEFOIL …

 

 

                                                    

 

En mode préparation…

Quelques bonds de gazelle, des bras tendus vers le ciel, luttant avec le vent, combinaison noire  freinant des deux pieds dans le sable, double trace sur la plage.

Vous comprenez tout de suite que vous ne pourrez rivaliser.

Benoit, Benoit Gomez, c’est la jeunesse de ses 16 ans… que vous prenez dans la figure, éclaboussures d’eau salée, le petit n’est pas là pour faire de la figuration, tranquille sur un plan d’eau, il en veut, il se bat…

Etes-vous conscients… Dorian ?

Votre nouveau (*petit ? record) (c’est vous qui l’avez dit), allez-vous le garder longtemps… ?

Il vous talonne, il remonte, il arrive, il est là…

Sa voile bleue cherche la voile rouge, sa planche rouge cherche la planche blanche…

Voilà de quoi mettre un coup de booster entre amis de la glisse…

Benoit aime le kiteFoil, cette discipline qui existe depuis quelques années, prend de l’ampleur.

En 2016, Benoit s’est classé 33ème  Français, c’est bien…

S’il aime les sensations fortes, il n’oublie pas pour autant sa scolarité dans une seconde Bac Pro, plastique et composite, pour comprendre et être au plus près de sa passion.

Sur l’eau, Benoit ‘’bombarde’’, Benoit s’éclate, vole saute au-dessus de l’élément, même avec peu de vent.

Hydrofoil (Aileron et ailettes fixés à sa planche), voile,  lui assure une montée en puissance très rapide, les sauts à plusieurs mètres de haut entraînent parfois des chutes impressionnantes.

Juste le bruit du vent dans la voile, ce drôle d’engin fend les eaux à une vitesse vertigineuse.

Ce sport n’est pas réservé aux novices.

Une discipline, qui sur le Bassin, convient bien aux Kitesurfeurs, la région commence à regarder d’un peu plus près ce loisir qui commence à faire de plus en plus d’adeptes.

Ce qui va retenir, dans ce sport, c’est le matériel, onéreux .

Il faut compter, en moyenne, 2500 euros, pour un Foil…

D’où, l’intérêt, n’est-ce pas Benoit, de se trouver un bon sponsor…

Benoit, casque noir, planche rouge, voile bleue…

Gentillesse, simplicité, sourire ravageur.

Mesdemoiselles lorsque Benoit sortira de l’eau, planche sous le bras, c’est sûr … votre cœur battra la chamade !

 

Mention très bien: 334

*L’encadrement,  plein d’humour, bienveillant envers leurS protégéS…

**C’est beau, beau, beau, de vous voir ainsi évoluer, jeunesse, vous êtes notre avenir, prenez soin de vous !

Bétisier :

Ce n’est pas gagné…

 

                                              

 

Comment dire, l’aileron, les ailettes c’est dessous que ça se met…

Mais c’est pour rire …

 

 

                                             

 

Ils vont bien arriver à me déconcentrer…

 

Allez … qui c’est qui fait le sherpa ?

 

 

…LETTRE A THOMAS PESQUET…

 …VOEU…

Voir Vidéo sur Facebook Bordeaux Sete 334

Choisir une Sétoise, Rose Marie, rencontre de cœur, parmi l’ancienne génération, choisir une petite Bordelaise, jeune génération.

Heureuse rencontre entre l’Atlantique & Méditerranée…

Ce  vœu cher à mon cœur.

Rencontre entre la terre, la mer, les cieux…

 

 

 

Faire partir des ballons au-dessus de Sète jusque dans l’espace…

J’ai eu beau chercher dans le ciel, je suis pourtant montée sur le Mt St Clair à Sète, utilisé les trois lunettes à ma disposition…

Sur le glacier de la Grande Motte à Tignes…

Sur la jetée Thiers à Arcachon.

Je ne vous ai pas trouvé, alors, je vous adresse une lettre, pour une demande très précise.

Mais…

Qui fera parvenir la lettre ?

Une demande qui profitera à tous les Bordelais, Bordelaises, Sétoises, Sétois, du Bassin, de l’étang, du canal, de 334, les amis d’ici et d’ailleurs…

Si vous saviez les effets produits en zone terrestre par vos photos quotidiennes.

Ce serait surement une interprétation abusive de dire que toute la gent féminine est amoureuse, puisque, comme moi, nombreuses sont admiratives.

Un homme qui fait, soigneusement, le ménage de sa station, tous les samedis, à 400 kms au-dessus de nos têtes !

Quant à la gent masculine, elle ne vous jalouse même pas, comment jalouser un ‘’gars’’, qui partage avec tant de simplicité, voute céleste, terre.

Ils sont avec vous dans votre travail, évaluent les moindres détails techniques, font avec vous leur jogging tout en  scrutant, sur vous, une éventuelle surcharge graisseuse, une façon à eux de se rassurer que vous êtes, comme les autres…

Ah… la pesanteur…(!)

Tout le monde est d’accord, vos photos sont exceptionnelles, et je vous assure personne, non personne ici, n’a pu faire les mêmes, les copieurs, les imitateurs, ont eu beau sauter très haut …

Ils n’ont pas réussi…

Comment ne pas aimer le rose et le gris, couleurs de mon blog, qui colorent parfois vos photos.

Découvrir la ville de Bordeaux, Montpellier, Toulouse, Dubaï, Hawaï, Voronej, méandres des fleuves, mers, océans, chaînes de montagne…

Passer du désert aux neiges éternelles en… un clin d’œil !

Villes scintillantes de nuit.

Régions, pays…

Des lieux dans lesquels, sans vous et votre équipe ne pourrions accéder…

Et pourtant, et pourtant, il manque, il me manque un petit quelque chose.

Ma demande ?

Sur vos clichés je n’ai pas vu la ville de Sète, oui la ville qui jouxte l’étang de Thau…

Cette photo est très importante, puisque mon blog parle des villes de Bordeaux et de Sète.

Le cliché de Bordeaux, vous l’avez fait, le sourire de l’estuaire aussi…

Bordeaux oui,, mais sans le Bassin d’Arcachon… ne l’oubliez pas…

Si beau en bas…alors d’en haut…

Et si, par miracle, vous arriviez à mettre la photo du canal du midi, trait d’or entre ces deux villes, ces deux bassins, ce serait l’étoile dans le ciel…

C’est ma demande.

De plus, un jour, il faudra redescendre sur terre…

Le moment idéal pour venir visiter, revisiter peut être, cette ville…de Sète, de Bordeaux…

Vous serez reçu comme un ‘’Petit Prince’’ ou un  grand roi !

Voilà de quoi vous donner envie de faire ce beau, ces beaux clichés…

Je garde en mémoire votre partage du 28 Avril, disant qu’il vous fallait des racines pour les repères l’équilibre… des ailes, pour parcourir le monde, vous ouvrir aux autres, changer de perspective…

Nous nous rejoignons…

Pour moi, c’est une voile, pour voyager de l’Atlantique à la Méditerranée, liberté rencontres ouverture… une ancre pour se poser, un port, rentrer, retrouver, se ressourcer…

Je ne sais qui fera parvenir, osera faire parvenir cette lettre jusqu’à vous…

Je le remercie déjà !

 

 

 

 

                                                       

 

 

 

                                             

 

 

 

334

* Bordeaux Sete 334 Facebook

*Isa Blogeuse Facebook

*bordeaux-sete.com

 

 

OUVREZ LES YEUX… VOUS ÊTES CHEZ DODIN…

BIARRITZ 64.

La cerise sur le gâteau Basque.

Jean-Michel et son fils.

 

 

-Je me fais plaisir…

La phrase de Jean-Michel Garrigue, résonne agréablement à mes oreilles.

C’est l’endroit où j’aime aller depuis de nombreuses années.

Sa passion se communique, du laboratoire à la pâtisserie.

Des yeux pétillants, un large sourire, une gentillesse naturelle émane de sa personne.

Sa bonne humeur imprègne son équipe.

Des enfants aux personnes âgées, des surfeurs aux amoureux, des artistes aux inconnus…

Nombreux sont ceux qui connaissent la célèbre pâtisserie Dodin, de la non moins célèbre Grande Plage de Biarritz.

 

                                          

Le patron connaît la musique culinaire aux notes sucrées, salées…

A son époque, c’est en suivant le père que l’on apprenait, c’est en se frottant à la famille que l’on se construisait, une époque où il partait à l’aventure dans les forêts, pouvait grimper dans les  arbres sans peur de se faire réprimander.

Cette même époque où il apprendra le savoir-faire des caramels, recette secrète apprise de son père, obtenu d’un vieux confiseur itinérant…

 

Savoir faire des caramels…

C’est être confiant pour oser prendre la température du produit, sans thermomètre, (perte de temps), plonger la main dans l’eau froide, à nouveau la plonger dans le sucre bouillant, avoisinant les 110°….

Tourner la texture, caramel refroidi, qui prend forme de boule sous les doigts, permettant de savoir si celui-ci est cuit.

Avant, en pâtisserie, le terme, pour la cuisson du sucre était, petit boulet, grand boulet…

Apprécier à la seconde près, le changement de texture, blondeur brûlante, couleur… caramel.

 

 

 

 

Adolescent, Jean-Michel Garrigue affronte, l’océan, afin de l’aimer, de mieux l’appréhender, avec ses amis et un ancien commando de marine.

Préparation unique, formatrice… faire face aux intempéries de la vie.

Partir lors de tempête, s’essayer contre les rochers…

-« Laisse frapper la vague, protège toi, protège ta tête, détends toi…si les coups pleuvent sois fort… »

Si son métier est un métier de passion, il lui faut apprendre sérieusement.

Ecole hôtelière à Lausanne.

La filière ‘’pro’’, à l’époque n’avait pas vraiment son heure de gloire, il n’existait pas encore les feux de l’amour version cuisine…

Malgré cela Jean-Michel se plait à dire, qu’à ce jour, dans la rue, si vous posez la question…

-« Pouvez-vous me citer 10 cuisiniers célèbres ?»…il y aura toujours une personne pour répondre.

Ce sera plus difficile pour citer 10 chirurgiens, et pourtant les deux sont indispensables…

Très jeune, il n’hésite pas à créer, la restauration dans les 3 aéroports régionaux, Biarritz, Pau, Perpignan.

Un chantier impressionnant, ouverture sur le ciel.

Dans celui de Biarritz, il créera tout, innovera dans un atelier conserverie de foies gras sur le site.

Ses équipes réceptionnent les avions, les réarment en papiers, fournitures diverses indispensables aux vols.

Il fonctionne très bien, les grands groupes l’observent, le guettent, lui, le dernier groupe privé en France.

Il finira par vendre, pour racheter à son père, en 2004, l’emplacement de la plage.

Son laboratoire est créé à Arcangues, à quelques kilomètres de Biarritz, la fabrication est apporté sur place chaque jour.

…OUI IL SE FAIT PLAISIR…

La journée commence par le laboratoire qu’il met en route, puis il vient à la boutique, vérifie les cuissons, le démarrage de la journée.

Puis il repart pour la comptabilité, les salaires, qu’il gère lui-même…

Il a dû, a su s’adapter à l’informatique, aux contrôles réguliers, sanitaires, fiscaux, parfois démesurés, de l’administration.

A l’année, sur l’hiver, ils sont sept, puis l’été, jusqu’à 31 saisonniers.

Les horaires d’été sont tardifs, jusqu’à une heure du matin.

Jean-Michel sait prendre du temps pour ses deux filles, son fils prend tranquillement sa place.

Son épouse l’a longtemps accompagné dans cette aventure.

Il s’amuse, se valorise en essayant de nouvelles recettes, nouvelles recherches.

Il implique son équipe…

 

                                           

 

Tous au laboratoire, lors des moments plus calmes, pour échanger, goûter, tester, n’hésitant pas à aller vers les produits concurrents pour savoir comment il se situe… éventuellement s’améliorer ou…être très satisfait de son travail !

-« Nous sommes bons ! »

Dodin est idéalement placé, dans un endroit mythique de Biarritz, la balade des rois et reines, grands de ce monde…

Ephémère…

 

Chez Dodin, tout le monde se rencontre autour d’une excellente glace…maison…

Purée de vrais fruits goûteux…

Laissez, par curiosité fondre la glace dans l’assiette, juste pour voir ce qu’il reste, faire la différence…

Ne pas résister au chocolat chaud…

Indispensable d’emporter avec vous, les caramels uniques, recette secrète apprise par son père d’un confiseur…

Sa vision préférée de Biarritz, c’est le rocher Shinning…

Cela tombe bien, son bureau est juste en face…

Et si, dans les jours d’Octobre, vous ne le voyez plus, c’est qu’il a suivi un vol de palombes…

Palombière…

Ce moment de ressources, autour d’un bon repas, avec sa fratrie, il ne le manquerait pour rien au monde…

 

DODIN: Bd du Général de Gaulle, quai de La Grande Place, 64200 Biarritz.

Tél : 05 59 22 10 43

 

 

 

 

       

 

 

…LES SUITES DU NEVADA…

…LES SOLEILS DE L’OMBRE…

 

 

Etincelles jaunes, tenues lumineuses que vous apercevrez lors d’un prochain séjour.

Il suffira juste de prendre le temps.

J’ai plaisir à vous parler des soleils de l’ombre, ceux que vous ne voyez pas, et pourtant vous savez qu’ils sont là…

Que ce soit dans cet hôtel ou dans un autre, ce sont les éléments discrets, efficaces, indispensables pour la bonne marche d’un établissement.

C’est eux qui pénètrent dans votre chambre lorsque vous allez skier, pour que vous puissiez retrouver un lit fait, une salle de bain nettoyée…

C’est eux aussi qui veilleront à remplacer les serviettes de bain triple épaisseur, que vous avez laissé sur le bord de la baignoire…

Ils doivent être rapides, ordonnés, soignés…

Les clients peuvent se montrer parfois très difficiles, exigeants.

Dans Les Suites du Nevada, en pleine activité, j’ai arrêté le temps, 5 minutes à peine, pour la gouvernante, deux femmes de chambre, deux valets de l’étage.

J’ai souhaité les mettre dans la pleine lumière de la suite qu’ils préparaient, leur demandant de prendre la pose dans la pause.

Ils étaient heureux, reconnaissants…

 

 

 

 

Lors de votre prochaine étape dans un hôtel, n’oubliez pas qu’il y a des étincelles dans l’ombre…

Liliana, Héléna, Laurine, Yorge, Virgilio …

Merci…Nous avons bien commencé la journée.

Le soleil était sur les pistes mais aussi à l’intérieur…